dimanche 31 janvier 2016

Séries 2015, Top & Flop – Partie 1: les drames



(Moi en janvier.)

Comme tu le sais sans doute si tu lis ce blog régulièrement, je regarde pas mal de séries.

(Quand je ne suis pas occupée à recommencer une millième partie de Skyrim, ou à mourir dans la nouvelle extension de Don’t Starve.)

(J’arrive sur une île déserte, pépouze, en fait c'était un volcan – long story short, je me suis faite buter par un caillou.)

Et donc 2015, qui était globalement une bonne grosse année de merde, a quand même eu pour seul mérite d’être pas trop mal niveau séries.

(En même temps, on est pile poil dans l’Age d’Or des Séries, alors ça se tient.)

(Et je pense que ça aide aussi qu’on soit dans l’Age de Fiente du Cinéma.)

(Sans déconner, Hollywood a produit UN bon film en 2015*.)

(Deux, si on compte ‘Interstellar’.)

(*Oui, je parle de Mad Max.)

Et comme j’ai enfin rattrapé mon retard dans les saisons 2015 (ci-mer mon mois de solitude forcée), je t’ai concocté un petit “Top & Flop” de mes séries préférées de l’année.

ATTENTION: Le contenu de cet article est évidemment très subjectif. Je le dis ici parce que je sais qu’on est censé exprimer ses opinions à base de “Perso j’aime bien” ou “Perso j’aime pas trop”, mais moi je préfère employer des expressions comme “C’est la meilleure chose de l’univers” ou “C’est un sombre tas de couilles”, donc c’est ce que je vais faire. (Si tu veux, tu peux t’amuser à ajouter “Selon mon avis qui n’engage que moi-même” après chacune de mes phrases.)

ATTENTION DEUX: ça va spoiler allègrement, parce que je m’en balek complètement de la sensibilité des gens.

(Comme ca c’est dit.)

On commence avec mon Top 4 Catégorie "C’est sérieux par ici oh"





Après avoir bien pleuré ma mère sur le final de Breaking Bad, c’est un plaisir de retrouver Saul Goodman l’avocat véreux… avant qu’il ne devienne Saul Goodman l’avocat véreux.

Comme pour Breaking Bad, les acteurs sont excellents, et pas seulement Bob Odenkirk (l’acteur principal) mais aussi tous les rôles secondaires. On ne s’ennuie pas une second, même quand il ne se passe rien (et on parle d’un prequel, alors toi-même tu sais qu’il va pas se passer grand-chose).

Après, Vince Gilligan, c’est un peu le Tarantino de la télé: il fait son truc à sa sauce, mais c’est toujours la même. Alors fatalement, ceux qui aiment adorent tout ce qu’il fait, et ceux qui aiment pas… ben, voilà.

(Moi, au cas où t’aurais pas compris, je suis dans le premier camp.)






Encore une série de Vince Gilligan (Fan2FOREVER), Battle Creek (que j'ai hésité à classer dans "comédies" parce que le ton est globalement léger, mais je pressens que ça va virer au noir avant la fin de la saison 3, donc voilà), Battle Creek, donc, est une série policière avec une sacrée couche de ‘buddy-movie’ dessus.

(Les ‘buddy-movies’, c’est comme ça qu’on appelle les films de comédie/action dans lesquels deux gars que tout oppose sont forcés de faire des trucs ensemble – souvent résoudre des crimes – et en fin de compte deviennent bon copains. Si tu regardes un film des années 80-90, y’a à peu près une chance sur trois pour que ce soit un buddy movie.)

(On peut citer comme exemples notables Rush Hour, l’Arme Fatale, Men in Black, ou encore le génial Hot Fuzz.)

Bref, dans cette série, le héros Russ Agnew, détective de la petite ville de Battle Creek, se voit forcé de collaborer avec l’agent du FBI plus-élégant-tu-meurs Milton Chamberlain. Et oui, je sais, ça a l’air super kitsch et pas original dit comme ça, mais juré c’est une série géniale.

Déjà, les deux acteurs principaux sont super bons (mention spéciale à Dean Winters, AKA Dennis le magnifique débile de ‘30 Rock’), et l’alchimie entre eux opère à merveille. Alors c’est sûr que, niveau relations entre les personnages, c’est du déjà vu (et je citerai ici Professeur Flaxou et son: "Russ et Milt, c’est Wall-e et Eve"). Mais l’histoire est intéressante, les dialogues sont brillants, la mise en scène est soignée, et ça fait plaisir de voir une série où les personnages secondaires ont des vraies histoires et des vraies personnalités, et ne sont pas juste des figurants en carton dont la psyché change selon les besoins scénaristiques des épisodes. (N’est-ce pas, Big Bang Theory ?)






La très bonne et très improbable surprise de cette année vient de chez nos voisins d’outre-Rhin, et je dis « improbable » non pas parce que je suggère que les Allemands sont incapables de faire de bonnes séries, mais parce que je ne pensais pas que les Allemands faisaient autre chose que des Krimi.

(C’est un peu comme si on te disait que les Français avaient fait un téléfilm qui n’était PAS un téléfilm historique en trois parties.)

(Impensable.)

Pour les non-germanistes, ‘Krimi’, c’est l’abréviation de ‘Kriminalfilm’ (soit : film policier), et c’est LE genre de prédilection en Allemagne – particulièrement à la télévision.

(On connaît tous Derrick, mais on peut aussi citer l'indétrônable ‘Tatort’, qui est à l’antenne depuis QUARANTE ANS – quand même – ou bien la populaire série ‘SOKO München’ et ses spin-offs (SOKO Leipzig, SOKO Köln, SOKO Stuttgart, etc.) (C’est un peu ‘Les Experts’ en moins exotique.))

Bref bref.

‘Deutschland 83’ n’est donc pas une Krimi, mais une série d’espionnage, qui se passe comme son nom l’indique en Allemagne, en 1983.

L’histoire suit Martin, un jeune militaire Est-Allemand, qui est recruté par les services d’espionnage de son pays et envoyé de force en RFA pour s’infiltrer auprès de l’armée d’Allemagne de l’Ouest. Le tout sur fond de tensions diplomatiques à péter l’élastique, parce qu’il y a des histoires de missiles américains et soviétiques et en gros on est à un poil de cul de la guerre nucléaire.

Et bon, je vais essayer de faire court : tout dans cette série est fabuleux.

(À part les acteurs qui ne sont pas tous gégé, c.f. la copine de Martin qui en fait des caisses, mais bon, ça pèche que dans les seconds rôles, donc on va pas enculer les mouches.)

Déjà, niveau réalisme, c’est assez bluffant (dixit ma maman qui a bien connu l’Allemagne des années 80), et oui okay, je sais bien que c’est relativement facile de faire de la reconstitution historique quand on parle d’une époque aussi récente, n’empêche que quand on voit comment les gens s’habillaient y’a trente ans, il faut saluer le courage des acteurs.


(Et surtout des actrices.)



(Ces choucroutes, mon dieu.)

Pour l’histoire en soi, elle est bien haletante comme on peut s’y attendre (c’est une série d’espionnage, hein, c’est pas Louis la Brocante). Alors oui, certes, le scenario fait un peu dans le n’imp par moments, avec des coïncidences incroyables (Martin est officiellement le mec au cul le plus bordé de nouilles de l’univers) et des retournements de situation que même moi je sentais venir a des kilomètres (cf. le moment « JE SUIS TON PÈRE – POM POM POOOOM », à mi-chemin entre Star Wars et les Jours de Notre Vie).

Mais la série réserve aussi des belles surprises (notamment un passage très ‘House of Cards’). («C’est un témoin qui traverse la route, et PAF le témoin».)

Et au passage, mention spéciale à la B.O., qui est une TUERIE.

Bref : j’étais vrillée à mon canapé pendant les huit épisodes (que j’ai enchaînés en mode marathon, parce que c’était un week-end pluvieux, mais surtout parce que la chair est faible).

A priori, il n’y aura pas de saison 2 (emoji tristesse). L’avantage, c’est qu’au final, t’investis pas trop de temps dans le visionnage. 

(Et puis c’est toujours sympa de réviser son Allemand LV2.) 

(Surtout quand les sous-titres anglais évitent soigneusement de retranscrire les gros mots.) (HA HA rien à foutre j’ai grandi en Alsace, tu peux pas test, je jure bilingue depuis le CE1.)

(Même Professeur Flaxou l’handicapé des langues ne connaît que deux mots en allemand, et ces mots sont ‘Käse’ et ‘Arschloch’.)

(Mais comme il allait en Allemagne que pour prendre un MacDo au drive de Kehl en sortant des soirees Batcave, ca allait.) (Car comme te l’expliquera Vincent Vega, ‘Big Mac’ se dit toujours ‘Big Mac’.)

Bref bref Brejnev.

On continue avec ma série dramatique préférée top du top de toute l’année, j’ai nommé :





Alias ‘La série qui a réussi à réparer l’irréparable’ – je veux bien sûr parler de l’immonde film 'Daredevil' de 2003 avec Ben Affleck.

(Je l’ai déjà dit et je ne suis pas la seule : Ben Affleck est un très bon réalisateur, mais un très mauvais acteur.)

(C’est Robert Redford à l’envers.)

Un mot sur le film, d’abord :

C'EST UNE PUTAIN DE PURGE.

Voilà.

Déjà en 2003, ce film était une merde, et pourtant on n’avait pas beaucoup de films de super-héros pour nous servir de mètre étalon (à part l’excellent Spiderman de Sam Raimi, et le premier X-Men). De toute façon, les films Marvel pré-2008 (avant la création de Marvel Studios), vaut mieux pas s’attarder dessus (HumhumHULK) (Quatre euros et deux heures de ma vie que je ne reverrai jamais) (HA HA les cinés à 4 Euros) (on est vieux, les gars).

L’exploit de Daredevil le film, c’est qu’il a pris nos attentes pourtant très basses et qu’il a réussi à les aplatir complètement, avec un film qui a réussi à être uniformément nul : jeu d’acteurs, direction, scénario, décors, costumes, maquillage, effets spéciaux, lumière, effets sonores, musique – ce film est une bouse dans TOUS les domaines.

J'veux dire, regarde cette bande-annonce, et dis-moi si ça pue pas le trou de balle, franchement:



Cette techno pourrie, ces effets spéciaux ignobles, ce montage épileptique, ces plans qui tournicotent dans tous les sens comme ton oncle bourré à un barbecue, ces vieilles punchlines moisies dignes de l'Agence Tous Risques! Et c'est la BANDE-ANNONCE!! C'est ce qui est censé te présenter les MEILLEURS moments du film!!

Du coup, je pense que, comme beaucoup de gens, j’avais encore ce douloureux souvenir en tête quand je me suis installée pour regarder la série Daredevil.

(D’autant plus que j’étais aussi allée voir le spin-off ‘Elektra’ au cinéma en 2005.)

(Oui, je sais, c'était tendre le bâton pour se faire battre.)

Mais la série m’a chopée aux tripes dès le premier épisode, et ne m’a plus lâchée.

Déjà, c’est très dark. Au sens propre et au figuré.



Vraiment, les acteurs sont dans le noir 90% du temps.


(Budget lumière pour cette série : 1 dollar.)

Alors évidemment, le sujet s’y prête : Daredevil, pour ceux qui ne connaissent pas, c’est l’alter ego justicier de Matt Murdoch, un avocat qui se bat pour la justice dans le quartier le plus corrompu de New York. Il est pauvre, ses parents sont morts (FORCÉMENT) et, en plus, il est aveugle, donc v’là la couche de pathos.

Et en fait son super-pouvoir c’est un genre de sonar comme les chauve-souris, qui lui permet de «voir» ce qui se passe autour de lui. Ses autres sens sont plus développés que la normale, et aussi c’est un ninja parce que chez Marvel, si t’as pas de super-pouvoirs qui déchirent, t’as intérêt à être soit un génie, soit un ninja.

Bref, Daredevil, c’est quand même l’un des seuls super-héros donc le super-pouvoir est d’être… presque normal, finalement.

Et c’est l’un des atouts majeurs de la série : son réalisme.

Parce que ouais, okay, on parle d’un super justicier aveugle ninja, mais je sais pas comment te l’expliquer, ça semble plutôt bien ancré dans la réalité. 

A mille lieues des combats ambiance cartoon d’une oeuvre comme Avengers, là, on voit le héros se fatiguer, se faire mal, s'essouffler. Et les méchants ne s’aplatissent pas par terre après un coup de poing, mais ils se relèvent (du quasi-jamais vu dans une adaptation de comics).

Et puis c’est BEAU, putain !

Pour une série télé, c’est foutrement beau ! C’est mille fois plus beau et un million de fois mieux filmé que Daredevil le film (avec pourtant un plus petit budget, comme quoi).

(Parce que oui, y'a eu des gens qui trouvaient ça ouf que Marvel ait prévu plus de 3 millions de dollars par épisode, mais Daredevil le film a quand même coûté 78 millions pour deux heures de DAUBE, donc le rapport qualité-prix se calcule vite.)

La photographie a un parti pris très retro (ambiance jaunes/verts), et vu que 99% des films d’action ou de superhéros récents baignent dans les teintes bleues/oranges, j’avoue que ca fait un changement sympa. En plus de ça, l'éclairage a un côté très naturel (avec des ombres, et tout) qui s'éloigne avec bonheur de l’éclairage type ‘sitcom’ qu’on retrouve dans la majorité des séries, y compris les autres séries Marvel/DC.



(LOL CÉ LA NUI I FÉ NOIR.)

Ce traitement réaliste met d’ailleurs en valeur un détail qui m’a beaucoup plu au sujet des interprètes féminins, et je vais essayer de dire ca avec doigté : LES MEUFS SONT BONNES. 

(Raté.) 

Non, en fait, les meufs sont bonnes, mais plus dans une vibe ‘normale’, et moins Hollywood. C’est-à-dire qu’elles sont indéniablement toutes super belles, mais elles ne sont pas filmées avec la couche de plâtre et la lumière uniforme qui fait de la majorité des actrices de series américaines des sortes de Barbies lisses et sans aspérités.

Exemple flagrant : Agents of Shields, où toutes les nanas sont maquillées comme pour un défilé Chanel, alors qu’elles sont censées être, dans l’ordre, une militaire, une scientifique, et une hackeuse.

Mais apparemment elles ont toutes le temps de passer chez l'esthéticienne, ça y'a pas de problème.


(Tous les grands stratèges vous le diront: l'important, quand on va au combat, c'est d'avoir le sourcil impeccable.)


(La recherche scientifique c'est important, mais trouver la bonne teinte de rouge à lèvres, c'est CAPITAL.)


(La geekette typique: chemise en jean/carreaux, lissage brésilien, contouring, smoky eye – LOL ces intellos, tous les mêmes.)

Dans Daredevil, même si toutes les filles sont plus bonnes que la plus bonne de tes copines, y’a quand même le côté humain qui ressort – genre des fois leurs cheveux s'emmêlement, et même d’autres fois, on voit les pores de leur peau. (TRUC DE OUF) (Seraient-elles donc des humains après tout ?) (Genre est-ce que quand il fait chaud elles transpirent de la moustache ?) (TOUT EST POSSIBLE.)

Un exemple: voici une photo de Deborah Ann Woll (qui joue le rôle de Karen) lors d'une soirée pour la promo de la série:



Et maintenant, voici un screenshot de la même actrice, dans la série:


(Oh mon dieu, un teint non uniforme, sommes-nous entrés dans la Matrice?)

Tu vois ce que je veux dire quand je parle de "réalisme" dans la série?

Donc c’est une petite chose, mais ça fait me plaisir de voir des nanas à l’écran qui sont juste belles, et pas surnaturellement belles.

(Sans déconner, va regarder Avengers, et essaye de voir les pores de Scarlett Johansson.)



(Du moins, pendant les cinq minutes de film où l’on accepte de nous montrer son visage et pas son cul.)

Bref bref.

Pour ce qui est de la mise en scène, c’est aussi de toute beauté – le côté ‘caméra au poing’ n’est pas nouveau, mais c’est un procédé que j’ai toujours beaucoup aimé (Spike Lee 4EVER). 

Et que dire de ce sublime plan-séquence de FOLIE PURE, le plus fort moment de toute cette saison, et qui te FISSURE LA RÉTINE par sa majesté :



(Et oui, je sais, on dirait la scène du marteau dans Old Boy, mais on s’en fout, c’est beau.)

Cerise sur le gâteau, les interprètes sont tous très bons, alors que la majorité du casting est composée d’inconnus. L’histoire alterne les morceaux d’action bruts avec des passages plus tranquilles où l’on discute de trucs très profonds et très dark (la mort, la justice, la corruption, la douleur, le deuil, la religion, etc.), et le mélange passe super bien.

Au final, je propose qu’on jette définitivement Daredevil le film aux oubliettes (et Ben Affleck l’acteur en meme temps) (Batman VS Superman, Dawn of MES COUILLES) et qu’à la place, on sorte les deux premiers épisodes de Daredevil saison 1 au cinéma, tels quels : crois-moi, ça fera un bien meilleur film.

(En même temps, la barre est pas tellement haute.)

(C’est plus une barre de limbo qu’autre chose.)

Bref : Daredevil saison 1 déchire tout. Si tu l’as pas encore vu, c’est le moment, parce que la saison 2 sort bientôt.

(Flaxou et moi on est AU TOP DU HYPE)

(Presque autant que pour la saison 4 de ‘Vikings’.)

(D’accord, 50% de mon hype sur ‘Vikings’ est fixé sur les pectoraux de Rollo.) (Et les 50 % qui restent sur tous les autres endroits de sa personne.) (Mais le gars on dirait un chanteur de folk metal sexy, qu’est-ce que je suis censée faire, ne PAS tomber amoureuse de lui ?) (Je suis une femme, pas un héros.)

Bref bref Brejnev.

Je viens de réaliser que j'ai écrit beaucoup trop et qu'on n'a même pas attaqué la seconde partie de mon Top 8, et j'ai TELLEMENT de choses à dire sur le reste que je vais m'arrêter là pour éviter de pondre un pavé comme quand j'avais fait Le Hobbit

Du coup, je te dis à très bientôt pour mon Top 2015 des séries comiques, et à un peu plus tard pour l'article méchant où je te parle des séries qui sont devenues de la merde.

(Tout un programme.)

J'espère t'avoir donné envie de regarder des nouvelles séries (si tu ne les a pas déjà vues), et comme il me reste encore neuf jours avant le retour de Flaxou, n'hésite surtout pas à me proposer tes propres coups de coeur 2015, j'ai la bande passante rien que pour moi et je peux faire péter le streaming.

J'attends les suggestions!

3 commentaires:

  1. Tout à fait d'accord avec daredevil et dans la même veine je te conseille "Jessica Jones" que ma copine et moi on a trouvé encore meilleur. Cette serie envoie du ponay:)

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  2. Bon tu m'as grave convaincue, c'est parti pour Deutschland 83 !

    Sinon niveau série sympa avec des zombies : I Zombie, l'histoire d'une meuf qui se retrouve zombifiée à une soirée étudiante et qui continue à vivre normalement... enfin sauf qu'elle a une tronche un peu pâlote (euphémisme)... ah! et qu'elle bosse dans une morgue pour pouvoir bouffer du cerveau au goûter. Elle se retrouve à avoir des visions de la façon dont sont morts des gens à qui appartenaient les cerveaux qu'elle mange et se met au service de la police en tant que "voyante" (LOL). ça pourrait te plaire.

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  3. Occupied, la série qui fait bien flipper par son réalisme : la Russie, avec l'accord de l'union européenne envahie la Norvège car celle-ci a élu un gouvernement écologique qui veut se passer du pétrole.
    Rectify, ou la réinsertion d'un condamné à mort qui a passé vingt ans dans le couloir de la mort et qui est finalement libéré suite à un test ADN.
    Black Sails, la série qui présente le capitaine Flint et John Silver avant l'île au trésor. Un générique magnifique,des acteurs qui tiennent carrément la route, de même que l'histoire et des super beaux mecs. À voir absolument!
    A youg doctor notebook, avec Daniel Radcliffe en jeune médecin russe fraîchement diplômé et envoyé au fin fond de la Russie. Un bon humour noir très bien dosé!
    Et en dernier je te propose In the flesh, une série de zombies made in la BBC qui te fait une histoire criante de réalisme. Tu te retrouves complètement retournée après l'avoir vu.

    Ps : face à ta solitude, si ça peut te faire te sentir mieux, une semaine après avoir reçu ma carte postale, j'ai appris le décès d'une connaissance. Sur ce, bonne soirée! ^^

    L.E.

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